« Non tourbé ? Et oui ! »
La plus réputée des dernières distilleries de la région du Kyntire, qui en a compté plus d’une trentaine. Springbank, qui appartient à la famille Mitchell depuis sa création en 1828, maintient presque à elle seule l’originalité du style somptueux et complexe des malts de Campbeltown, dont l’aptitude au vieillissement est particulièrement remarquable. Tout est fait ici sur place, du
maltage à l’embouteillage, avec une double distillation et demie..
Jaune clair. Nez surtout céréalier, fruits jaunes (prune, pomme), avec de la puissance. Attaque un peu brûlante, puis le corps est assez sec, avec une petite rondeur fruitée. Bien épicé et poivré, mais quasiment pas de tourbe, ce qui est tout de même bien rare chez Springbank. À préférer à l’apéritif, avec cette fi nale sèche et assez persistante.
« Sec, voire minéral »
La plus réputée des dernières distilleries de la région du Kyntire, qui en a compté plus d’une trentaine. Springbank, qui appartient à la famille Mitchell depuis sa création en 1828, maintient
presque à elle seule l’originalité du style somptueux et complexe des malts de Campbeltown, dont l’aptitude au vieillissement est particulièrement remarquable. Tout est fait ici sur place, du maltage à l’embouteillage, avec une double distillation et demie… et même de l’orge cultivée à proximité dans ce cas précis.
Jaune clair. Nez marqué par la tourbe, qui s’accompagne de notes épicées (gingembre ?) et de fruits jaunes. La bouche est franchement brûlante, avec des notes herbacées (gazon tondu). Le caractère céréalier domine avec une belle rondeur, dominant presque la tourbe végétale, plutôt discrète. Belle vivacité générale, toute empreinte de jeunesse jusqu’à fi nale. Il aurait mérité de vieillir davantage…
« Un peu trop jeune peut-être ? »‘
La plus réputée des dernières distilleries de la région du Kyntire, qui en a compté plus d’une trentaine. Springbank, qui appartient à la famille Mitchell depuis sa création en 1828, maintient presque à elle seule l’originalité du style somptueux et complexe des malts de Campbeltown, dont l’aptitude au vieillissement est particulièrement remarquable. Tout est fait ici sur place, du maltage à l’embouteillage, avec une double distillation et demie… et même de l’orge cultivée à proximité dans ce cas précis.
Jaune clair. Nez marqué par la tourbe, qui s’accompagne de notes épicées (gingembre ?) et de fruits jaunes. La bouche est franchement brûlante, avec des notes herbacées (gazon tondu). Le caractère céréalier domine avec une belle rondeur, dominant presque la tourbe végétale, plutôt discrète. Belle vivacité générale, toute empreinte de jeunesse jusqu’à fi nale. Il aurait mérité de vieillir davantage.
« Si jeune et déjà… Springbank » ! »
La plus réputée des dernières distilleries de la région du Kyntire, qui en a compté plus d’une trentaine. Springbank, qui appartient à la famille Mitchell depuis sa création en 1828, maintient presque à elle seule l’originalité du style somptueux et complexe des malts de Campbeltown, dont l’aptitude au vieillissement est particulièrement remarquable. Tout est fait ici sur place, du maltage à l’embouteillage, avec une double distillation et demie.
Doré légèrement soutenu. Au nez, la tourbe se développe plus lentement, et demande un peu d’aération pour prendre de l’ampleur, s’accompagnant de notes beurrées et fruitées. En bouche, c’est d’abord la vivacité de l’alcool qui s’impose, et la tourbe se fait plus discrète, davantage fondue dans une douceur aromatique sur la brioche, l’herbacé, la poire et la prune jaune, la vanille avec des épices (gingembre, poivre noir). Malgré sa jeunesse, un Springbank déjà bien complet et harmonieux.