Faisant fi de la pensée de notre cher Albert (Einstein) qui voulait que « L’intelligence artificielle ne fasse pas le poids face à la stupidité naturelle », j’ai usé de ma propre stupidité personnelle, à moi tout seul, pour me vautrer dans cette déjà fumeuse et soi-disant « Intelligence
artificielle »…
On ne sait jamais, sur un malentendu ?
Mais que m’a valu ce recours en ce nouveau souffle numérique ?
Et bien je dois avouer qu’en définitive notre MISTRAL français ne m’a pas déçu par son approche, Je vous laisse juges, à la question : « Comment l’IA peut-elle définir le mot « Whisky » ?
Cette foutue bécane m’a sorti au bout de 7 longues secondes :
« L’intelligence artificielle peut définir le mot « whisky » en s’appuyant sur une compilation de Connaissances et des définitions issues de diverses sources fiables. Par exemple, une définition pourrait être : Whisky : Spiritueux obtenu par la distillation d’un moût fermenté à partir de céréales (comme l’orge, le maïs, le seigle ou le blé), puis vieillir en fûts de bois (souvent en chêne) pour développer des arômes et une complexité gustative. La production et le vieillissement varient selon les régions, donnant lieu à différentes variétés telles que le scotch whisky, le bourbon, ou le whisky irlandais.
Le terme vient du gaélique « uisge beatha », qui signifie « eau de vie ». Cette définition intègre plusieurs éléments clés :
1. Processus de fabrication : La distillation et le vieillissement en fûts sont essentiels pour obtenir les caractéristiques uniques du whisky.
2. Ingrédients : L’utilisation de diverses céréales influence le profil aromatique et gustatif.
3. Variétés régionales : Les différences de production selon les traditions et les législations (par exemple, en Écosse, aux États-Unis ou en Irlande) expliquent la diversité des types de whiskies.
4. Origine du mot : La racine gaélique souligne l’histoire et la tradition associées à cette boisson.
En résumé, l’IA peut combiner des informations issues de nombreuses sources pour fournir une définition complète et nuancée du mot « whisky ».
Avec 1 seconde de plus j’ai eu droit à :
« Le whisky est un spiritueux obtenu par la distillation d’un moût fermenté issu de céréales (comme l’orge, le maïs, le seigle ou le blé), qui est ensuite vieilli en fûts de bois (généralement en chêne) afin de développer sa palette aromatique et sa complexité gustative.
fr.wikipedia.org
Ce processus comprend plusieurs étapes clés : la fermentation du moût, la distillation pour concentrer l’alcool et enfin la maturation en barrique, durant laquelle le whisky acquiert ses arômes caractéristiques et sa couleur, souvent du doré pâle à l’ambre foncé.
britannica.com
Par ailleurs, le terme « whisky » trouve son origine dans le gaélique «uisce beatha », signifiant littéralement « eau de vie », ce qui souligne à la fois son histoire ancestrale et sa place culturelle dans des pays comme l’Écosse et l’Irlande.
dictionnaire.cambridge.org
Selon les traditions régionales et les méthodes de production, on distingue plusieurs types de whiskies, tels que le Scotch whisky, le bourbon américain ou encore l’Irish whisky, chacun présentant des caractéristiques spécifiques liées aux premières matières utilisées, aux
techniques de distillation et à la durée de maturation.
En résumé, l’intelligence artificielle peut définir le whisky comme un spiritueux élaboré à partir de céréales fermentées et distillées, dont la richesse et la diversité résultant d’un savoir-faire ancestral mêlant techniques de fermentation, distillation et vieillissement en fûts de bois. »
En vue d’approfondir, j’ai tenté le drop avec « Selon l’IA, quelle serait la meilleure façon d’aborder le whisky ? »
Et cette satanée machine m’a répondu du tac au tac (au bout d’une seconde, il est vrai) :
« Selon l’IA, la meilleure façon d’aborder le whisky consiste à faire une expérience à la fois sensorielle, culturelle et progressive.
Autrement dit, il s’agit d’adopter une démarche en plusieurs étapes :
1. S’informer et comprendre son histoire
Avant toute dégustation, il est enrichissant de se familiariser avec l’histoire
et les méthodes de production du whisky.
Comprendre l’origine du mot (du gaélique « uisce beatha », « eau de vie ») et connaître la diversité des styles (scotch, irlandais, bourbon, etc.) permet d’appréhender les spécificités de chaque type et de mieux orienter ses choix.
2. Créer un environnement propice à la dégustation L’expérience du whisky se vit pleinement dans un cadre calme et neutre, où les interférences olfactives (odeurs ambiantes, chaleur excessive ou froid) sont minimisées. Choisir le bon moment et le bon lieu contribue à laisser les arômes s’exprimer correctement.
3. Utiliser une verrerie adaptée
Un verre en forme de tulipe – par exemple, le verre Glencairn – est idéal car il permet de concentrer les arômes vers le nez tout en offrant une bonne prise en main sans réchauffer le liquide. Cela facilite l’observation de la couleur et la perception des « jambes » (ou larmes) qui donnent des indices sur la texture et la complexité du whisky.
glenmoray.com
4. Approcher le whisky par les sens :
– La vue : Observez la couleur et la clarté du whisky, qui peuvent nous renseigner sur son âge ou le type de fût utilisé.
– L’odorat : Humez le whisky en le faisant légèrement tourner dans le verre. Prenez le temps de détecter les différentes couches aromatiques – fruitées, boisées, épicées, voire tourbées.
– Le goût : Laissez le whisky rouler sur votre langue pour en apprécier la palette complète. Certains experts recommandent d’ajouter quelques gouttes d’eau (ou de le déguster « pur ») afin d’ouvrir le bouquet sans trop diluer les saveurs.
tregorwhisky.com
5. Expérimenter et personnaliser son approche. Enfin, l’important est de rester ouvert et curieux. Testez différents types et âges de whisky, notez vos impressions, et apprenez à reconnaître les arômes qui vous plaisent. La dégustation du whisky est une expérience très personnelle qui évolue avec le temps et la pratique.
En résumé, aborder le whisky de la sorte – en alliant connaissance, environnement soigné, choix du bon verre et dégustation attentive – permet de développer son palais et de découvrir la richesse et la complexité de ce spiritueux avec plaisir et discernement » .
En revanche, à la troisième question (facile pourtant) : « Quel serait, aujourd’hui, le meilleur whisky ? » je préfère vous laisser tenter l’expérience par vous-mêmes car au bout de 21 secondes je n’ai obtenu que de bien maigres banalités sans esprit et bien entendu, sans chaleur
humaine !
En vérité, qu’une machine me parle, après une seconde de « réflexion » d’expérience à la fois sensorielle, culturelle et progressive me « scotche » littéralement mais, comme nous le rappelle notre grosse tête au pied marin (1) : « J’ai toujours doublé avec mon intuition et mon sens de l’observation ; je me suis servi de la machine en retenant les renseignements qu’elle me donnait, mais je m’en méfiais, sachant Qu’elle était faillible …»
Mais peut-être que ce que nous cherchons ailleurs était connu de certains, qu’il existait, en des terres lointaines et salées, ce goût de l’absolu, A l’image du singulier Glen Scot’IA qui a eu la grande intelligence de survivre à la grande dépression !
Benoît LEFEBVRE
Vice-Président
(1) Vous aurez reconnu Olivier de Kersauson (Avant que la mémoire s’efface au Cherche Midi)