L’arrêt de production de fin d’année va se prolonger jusqu’à fin février, le mash tun supercentenaire* – qui date de la construction de la distillerie
en 1881 – ayant besoin de sérieuses réparations.
Les pièces qui supportent le bras rotatif doivent être remplacées. En les démontant, on s’est aperçu que le mash tun n’était pas vraiment circulaire, l’écart par rapport à l’axe pouvant atteindre 10 cm.
La seule solution – le remplacement par un rutilant mash tun en inox étant exclu – est de prendre un moule des différentes pièces et de les faire reproduire à l’identique. D’où le délai…
* Si si, ça existe, nos académiciens chenus n’ayant pas encore
prévu un mot pour désigner les nobles vieillards âgés de 110, 120